Première évaluation d’une série de bords de routes et chemins soumis au régime du “fauchage tardif” dans la Commune de Beauvechain. Les options de gestion qui en découlent.
par J.P. Mommaerts (AEB)

Table des matières:

  1. Introduction
  2. Sites visités (*)
  3. Déterminations des types sociologiques et options de gestion correspondantes
    • Cabourse
    • Zones 6 et 6b
    • Zone 8
    • Zone 11
    • Zone 20
  4. Discussion
    • Du point de vue méthodologique
    • Du point de vue des options de gestion
  5. Conclusions
    • Du point de vue méthodologique
    • Du point de vue de la gestion optimale des bords de routes et chemins à Beauvechain
  6. Remerciements
  7. Bibliographie

1 Introduction

Dans le cadre de l’Année européenne de la Conservation de la Nature 1995, la Commune de Beauvechain et la Région Wallonne ont décidé de collaborer à la mise en place d’une action-pilote de gestion écologique des bords de route, afin de les rendre plus accueillants à la vie sauvage.

Ainsi, l’opération “fauchage tardif” veut restituer à nos accotements, bords de routes, fossés et talus leur rôle écologique de refuge pour la vie sauvage et de zone de liaison entre éléments significatifs de notre environnement rural (Donéa et al., 1995).

Il importait cependant d’affiner cette approche en:

1°) en déterminant à quelles associations végétales se rattachent précisément les bords de route et de chemins désignés pour l’opération “fauchage tardif”;

2°) en définissant quelles sont les options optimales de gestion écologique pour ces associations végétales (date de fauche, utilité d’une 2ème fauche (par ex. à la fin de l’été), autres stratégies…)

Il se trouve qu’un important travail de recensement de toutes les associations végétales de bords de route et des options de gestion qui leur sont associées a été réalisé pour ce qui concerne la Région Flamande (Zwaenepoel et De Clercq, 1995 et Zwaenepoel,1998). Beauvechain étant situé dans une zone qui, géographiquement, géologiquement et climatologiquement, ne se distingue pas du Sud-est du Brabant flamand, la typologie de Zwaenepoel paraît tout à fait applicable.

L’analyse statistique par Zwaenepoel de nombreux résultats d’inventaires floristiques de bords de routes en Flandre a permis de dégager une matrice des degrés d’affinité que présentent les différentes espèces entre elles. L’ordination de ces affinités sous forme d’une arborescence dichotomique aboutit à la définition de 37 types sociologiques précis, pour lesquels des conseils de gestion, basés sur une importante bibliographie, sont donnés. Pour chacun de ces types sociologiques et aussi pour les niveaux supérieurs de l’arborescence – de plus en plus “englobants”- la liste des dix espèces les plus fréquemment rencontrées est chaque fois fournie.

Un rapport plus détaillé (Mommaerts, 1999a) rend compte de la méthodologie qui a finalement été utilisée pour déterminer les types sociologiques d’une demi-douzaine de tronçons répartis sur Beauvechain. On y trouve aussi tous les inventaires floristiques et les options correspondantes de gestion écologique.

Le présent rapport en fournit une synthèse.

2 Sites visités (*)

– Cabourse-97: chemin encaissé, situé à l’entrée du hameau de la Cabourse et conduisant à travers champs vers le Tilleul du Chêne. Chemin récemment recalibré et réensemencé. Inventaire assez sommaire réalisé le 1.07.97 par J.P. Mommaerts.

– Cabourse-99: le même, revisité par J.P. Mommaerts le 21.05.99 et 3.06.99. Graminées déterminées par Bruno Verhelpen.

– Zone 6-1997: bord de route situé entre le Tilleul du Chêne (croisement rue de Sclimpré x rue Longue) et la Chaussée de Wavre. Inventaire réalisé le 10.06.97 par Louis Ronse et Jean-Marie Tricot.

– Zone 6-1999: le même. Inventaire par J.P. Mommaerts les 9.05.99 et 21.05.99. Graminées déterminées par Bruno Verhelpen.

– Zone 6b-1999: bord de route (côté Beauvechain) situé entre le carrefour rue Longue x Chaussée de Wavre et l’approche de L’Ecluse, au point marqué par un panneau “fauchage tardif”. Inventaire par J.P. Mommaerts, le 21.05.99. Graminées déterminées par Bruno Verhelpen.

– Zone 8-1999: rue de la Tourette. Bords de route entre le carrefour de Sclimpré et l’entrée de L’Ecluse. Inventaire par J.P. Mommaerts, le 8.06.99. Graminées déterminées par Bruno Verhelpen.

– Zone 11-1997: chemin à la Chapelle Ste Corneille, direction Bois de Meerdael. Inventaire du 29.06.97 par Louis Ronse, Jean-Marie Tricot et J.P. Mommaerts, sur une longueur d’environ 500 m.

– Zone 20-1997: chemin dans la campagne de Nodebais, tronçon Nord descendant vers Tourinnes-la-Grosse. Inventaire réalisé le 10.06.97 par Louis Ronse et Jean-Marie Tricot.

(*) Cf: les cartes ci-jointe de localisation des tronçons soumis à fauchage tardif à Beauvechain (Rem.: absentes du site Web; temps de chargement prohibitifs)

3 Déterminations des types sociologiques et options de gestion correspondantes

3.1 Cabourse

• Cabourse-1997: . On remarque que, après recalibrage et réensemencement, la végétation est encore fort clairsemée (recouvrement maigre de fétuques et de prêles, laissant apparaître le sol à nu). L’abondante floraison de coquelicots donne son caractère visuellement agréable à ce site. La camomille inodore est également abondante.

• Cabourse-1999: par rapport au relevé de 1997, la végétation est moins clairsemée. Le coquelicot a disparu (sauf en bordure des cultures, au haut du talus) au profit de la grande marguerite, de la marjolaine et, plus tard, de la mauve musquée.

• Diagnostic: A deux ans d’intervalle, on détermine les types 27 (association à Papaver rhoeas-Sisymbrium officinale) et 25 (association à Linaria vulgaris-Hypericum perforatum). Dans la clé dichotomique de Zwaenepoel, la divergence entre ces deux types s’installe précisément au point où un type d’environnement est labouré/retourné (ligne menant au type 27) tandis que l’autre est fauché (ligne menant au type 25).

• Options de gestion: le labourage régulier ou, à la limite, le piétinement eût permis au type sociologique 27 de se maintenir. Par contre, le fauchage conduit directement à la disparition du type. Un fauchage intensif conduit à un tapis herbeux monotone. De fait, la gestion appliquée jusqu’à présent à ce site a conduit au type 25.

“Ne rien faire” est la recommandation la plus fréquente pour le maintien de ce type de végétation 25. Mais à long terme, on obtiendrait quand même une végétation de type envahissant. Dans ce cas, il est conseillé de faucher une fois tous les 2-3 ans et cela, tard dans l’année (septembre). Il serait désastreux de faucher à la fin du printemps (mi-juin).

3.2 Zones 6 et 6b

• Bords de routes: accotements herbacés, riches en graminées, bordant les cultures du plateau hesbignon: froment, escourgeon, betterave. Exemple d’inventaire floristique, avec mention pour chaque espèce des associations végétales possibles: tab. 1. 

• Diagnostic: ces accotements sont proches dans l’espace, la géographie et très semblables visuellement. Le diagramme des fréquences (tab. 1b), construit sur la base des possibilités d’appartenance à des types sociologiques précis, révèle cependant une diversité sociologique que nous ne rencontrons pas dans des environnements plus typés, tels les chemins creux boisés (voir § 3.5). Mais il est frappant que, par-delà les incertitudes, les types 6 (association à Aegopodium podagraria-Rumex obtusifolius), 14 (association à Ranunculus acris-Trifolium pratense) et 20 (association à Medicago arabica-Tussilago farfara) soient systématiquement évoqués. En fait, la divergence entre le type 6 d’une part, et les types 14 et 20 d’autre part se fonde sur l’opposition entre milieux plutôt riches en azote et plutôt humides (type 6) et milieux plutôt pauvres en azote et plutôt secs (types 14 et 20). De fait, l’exposition au Nord du bord de route en zone 6b pourrait expliquer ce classement différent. Par ailleurs, la divergence entre types 14 et 20 se marque à propos de la richesse en azote (plus élevée pour le type 20).

• Options de gestion:

type 6: ce type est de loin le plus fréquemment rencontré en Flandre (plus de 60% des accotements). La biomasse est élevée et beaucoup d’espèces rudérales, banales et résistantes tendent à dominer. En outre, beaucoup d’espèces à multiplication végétative font partie de cette association et témoignent d’une forte adaptation aux activités humaines. Elles ne seront que difficilement éliminées par les campagnes de fauchage. Toutes ces espèces représentent un stade de dégradation d’autres associations végétales possibles (c’est aussi pourquoi ce type est très divers). 

Il est recommandé de faucher deux fois par an afin de réduire la biomasse et d’obtenir une diversité floristique satisfaisante. Le 15 juin et le 15 septembre sont des moments propices. Mais on n’évitera pas une certaine dérive au cours du temps, ce qui nécessitera une surveillance maintenue et l’adaptation du régime de fauche aux nouvelles situations observées. Plusieurs variantes existent dans le type 6 (aucune n’a été identifiée dans nos relevés), pour lesquelles des régimes de fauche spécifiques sont suggérés.

Une stratégie alternative impliquant un étrépage (enlèvement de la couche superficielle du sol) est également évoquée. Cette stratégie peut conduire à des évolutions intéressantes vers des types alternatifs (types 23, 5 et 19) mais aussi à des résultats moins favorables (prolifération de Rumex obtusifolius).

type 14: deux fauchages par an sont également recommandés. Comme pour le type 6, il existe plusieurs variantes du type 14 avec des stratégies de fauchage adaptées. Le meilleur compromis est un fauchage à la mi-juillet, pour sauvegarder l’aspect visuel de l’accotement fleuri au mois de juin, et une deuxième fauche à la fin septembre ou plus tard.

type 20: deux fauchages par an sont recommandés, avec des options diverses, selon les variantes observées. On propose le 15 juin et la fin septembre mais, pour obtenir une floraison maximale, une fauche unique, située à la fin septembre est recommandée.

Le grand pourcentage de “mauvaises” herbes des cultures, observé dans ce type 20, résulte du labourage occasionnel des accotements. Si ceci ne se produit pas trop fréquemment (une fois par 5-10 ans), c’est une bonne mesure pour la plupart des espèces et le maintien du type sociologique.

3.3 Zone 8

• Bord de route. Accotement herbacé, riche en graminées. Bordant des environnements variés: cultures, prés, zone centrale humide, décharge, bosquets.
• Diagnostic: cet accotement, bien que nettement plus riche du point de vue floristique, ne se distingue guère des accotements de zone 6 et 6b, tous situés sur le plateau hesbignon, à l’Est de Beauvechain. On a donc le type 6 (association à Aegopodium podagraria-Rumex obtusifolius).
• Options de gestion: voir plus haut.

3.4 Zone 11

• Chemin creux, avec taillis arbustif en haut de talus.

• Diagnostic: le type 10 (association à Geum urbanum-Poa nemoralis) ne fait guère de doute. Le fait d’amalgamer des tronçons présentant des caractéristiques d’éclairement variées fait que le type 7 est également évoqué (association à Chaerophyllum temulum-Bromus sterilis: mêmes caractéristiques générales de richesse azotée et d’humidité que le type 10 mais environnement moins ombré). Ceci s’applique également aux types 5 et 6, à la fois moins ombrés et plus humides.

• Options de gestion:

type 10: “Ne rien faire” est, de loin, la recommandation la plus fréquemment émise. Si, pour des raisons étrangères à la gestion écologique, il fallait quand même faucher, il conviendrait de le faire le plus tard possible dans l’année: fin septembre ou plus tard. Ainsi, épargnerait-on les floraisons printanières.

type 7: la recommendation “ne rien faire” s’applique ici aussi, avec la nuance qu’une fauche annuelle à la fin septembre serait bien tolérée par la plupart des plantes et qu’une double fauche occasionnelle (15 juin – 15 septembre) permettrait de contrer les plantes envahissantes (cf. Urtica dioica, Bromus sterilis, Galium aparine, Rubus caesius).

3.5 Zone 20

• Chemin creux, avec taillis arbustif en haut de talus. Exemple d’inventaire floristique, avec mention pour chaque espèce des associations végétales possibles: tab. 2. 

• Diagnostic: le type 10 (association à Geum urbanum-Poa nemoralis) est clairement diagnostiqué. C’est le seul cas où le tableau des appartenances est aussi peu divers (voir aussi le diagramme des fréquences (tab. 2b).

• Options de gestion: voir plus haut.

4 Discussion

4.1 Du point de vue méthodologique

Quand elle peut s’appliquer, la clé dichotomique de détermination des types sociologiques se révèle être un outil sûr et souvent plus rapide que tout autre méthode.

Cependant, l’utilisation de cette clé n’est pas toujours aussi simple et immédiate qu’il paraît:

• quand les inventaires floristiques sont trop sommaires et/ou les déterminations sont en partie douteuses;

• quand les tronçons de route explorés cumulent trop d’influences (ce qui se traduit par une diversité élevée des types sociologiques potentiellement représentés).

La méthode alternative, que nous avons aussi testée, utilise également la matrice des affinités de Zwaenepoel. Elle consiste à établir un diagramme des fréquences des types sociologiques susceptibles de représenter le bord de route étudié. Cette méthode, plus lourde, a l’avantage de mettre en évidence la diversité des influences en jeu.

Finalement, c’est par la combinaison de ces approches et explorations que l’on réussit le mieux à identifier de façon fiable les types sociologiques.

4.2 Du point de vue des options de gestion

Le nombre de sites visités est évidemment encore trop restreint. Ces sites représentent cependant déjà un éventail de situations assez diversifiées, qui appellent des solutions particulières, notamment:

• le “ne rien faire”

• un fauchage espacé dans le temps (tous les 2-3 ans)

• la stratégie du double fauchage annuel

En particulier, la stratégie du double fauchage est préconisée pour toute une série de types sociologiques pouvant se trouver représentés dans les nombreux accotements de routes, en milieu très ouvert, du plateau sablo-limoneux hesbignon (notamment les types 6, 14 et 20).

Le décret sur les accotements de la Région Flamande, du 27 juin 1984, (“Bermbesluit”) mentionne les dates du 15 juin (au plus tôt) et du 15 septembre (au plus tôt). Ces dates reposent sur le constat que la plus grande partie des accotements abondent en plantes du type envahissant (ex. chardons, orties, certaines graminées,…). Elles négligent cependant le fait qu’un grand nombre de plantes intéressantes fleurissent précisément aux environs du 15 juin (Zwaenepoel, 1998).

De leur côté, Peeters et Janssens (1999), dans une brochure de la Région Wallonne, soulignent que, dans un régime de fauchage idéal pour les communautés herbacées riches en espèces, la première coupe s’effectue plutôt tardivement (mi-juillet) pour ne pas trop perturber la reproduction des insectes et éventuellement des oiseaux. Mais cette première coupe ne doit toutefois pas être effectuée trop tard non plus car le couvert, en séchant, devient vite peu esthétique. Quant à la coupe effectuée à partir de la mi-septembre, elle a pour but, outre le nettoyage de l’accotement, de permettre aux plantules de s’implanter plus facilement dans le couvert avant l’hiver. Cette coupe limite aussi fortement les risques de pullulation des rongeurs, comme les mulots et les campagnols.

D’autre part, tant Peeters et Janssens que le “Bermbesluit” indiquent qu’il est important d’évacuer les produits de fauche. Cette évacuation a pour effet:

• grâce à l’éclaircissement, d’éviter aux plantules d’être étouffées par le tapis végétal resté en place;

• et surtout, d’appauvrir le milieu (sels minéraux, azote…), ce qui est favorable à une plus grande diversité écologique.

5 Conclusions

5.1 Du point de vue méthodologique

• Le travail de Zwaenepoel offre une base sûre pour la détermination des types sociologiques caractérisant nos bords de routes et chemins. Son travail est aussi particulièrement précieux en ce qu’il fournit des conseils de gestion très détaillés et très spécifiques.

• La détermination des types sociologiques de nos bords de routes et chemins s’avère donc parfaitement possible, moyennant un certain effort de précision et d’analyse.

5.2 Du point de vue de la gestion optimale des bords de routes et chemins à Beauvechain

• Certaines situations appellent d’autres mesures que le fauchage tardif. Le “ne rien faire” est parfois le meilleur (ou le moins mauvais) choix possible.

Si l’option du fauchage tardif est indiquée, il est utile de rappeler quels sont ses objectifs principaux:

• D’un point de vue strictement écologique, le fauchage tardif permet de maintenir aussi longtemps que possible une fonction de refuge de la vie sauvage et de liaison entre écosystèmes (sauvegarde du maillage écologique).

• D’un point de vue qualitatif, il est utile de garantir une diversité floristique aussi élevée que possible, à laquelle correspondra une diversité élevée des hôtes de ces zones. On y arrive par exportation de la biomasse fauchée, en appauvrissant le milieu (sels minéraux, azote) et en éclaircissant la végétation. Il y a notamment un effet de limitation de la végétation de type envahissant.

• Le moment des fauches détermine quelles plantes ont eu le temps de former leurs semences. Il s’ensuit que l’on peut moduler les interventions en fonction d’objectifs variés: par ex. éliminer en priorité les plantes du type envahissant ou encore obtenir telle ou telle association végétale en raison de son caractère esthétique ou de sa fonctionnalité écologique. Toutefois, les auteurs cités, s’exprimant tant pour la Région Flamande que pour la Région Wallonne, préconisent clairement la stratégie du double fauchage annuel (mi-juillet et mi-septembre) comme remédiation pour toute une série d’accotements parmi les plus fréquemment rencontrés et caractérisés par leur degré élevé d’eutrophisation et de dégradation écologique.

• La végétation étant également sensible aux influences climatiques et en évolution constante, les résultats des actions de gestion entreprises ne sont pas absolument garantis: un suivi s’impose donc, qui puisse permettre de décider d’actions correctives.

6 Remerciements

Nous adressons nos remerciements à Monsieur Bruno Verhelpen, qui a bien voulu se pencher sur nos herbiers de graminées.

7 Bibliographie

Donéa, M. et le Groupe de travail “Bords de routes”, 1995. La vie sauvage emprunte aussi nos routes. Brochure du Service Documentation et communication de la Direction Générale des Ressources Naturelles et de l’Environnement. Avenue Prince de Liège, 15, 5100 Namur, 11 pp.

Mommaerts, J.P., 1999a. Détermination des associations végétales caractérisant une série de bords de routes et chemins soumis au régime du “fauchage tardif” dans la Commune de Beauvechain. Les options de gestion qui en découlent. Rapport AEB – septembre 1999, 11 pp. 10 tabs.

Peeters, A. et F. Janssens, 1999. Talus et prés fleuris: mode d’emploi. Un guide pour

l’aménagement écologique des espaces verts. Brochure technique n° 7 – Ministère de la Région Wallonne – Direction Générale des Ressources Naturelles et de l’Environnement. Avenue Prince de Liège, 15, 5100 Namur, 35 pp.

Zwaenepoel, A. & H. De Clercq, 1995. Sleutel tot vegetatietypes in Vlaamse wegbermen en

beheersindicaties. Studiecentrum voor groenvoorziening. Groendossier 95/11. 78 pp. Ed. Vereniging voor Openbaar Groen v.z.w., V. Jooken, Sint-Jansstraat, 7B, 8000 Brugge.

Zwaenepoel, A., 1998. Werk aan de berm! Handboek botanisch bermbeheer. 296 pp. Stichting

Leefmilieu vzw/ Kredietbank i.s.m. de Afdeling Natuur van Aminal.

Tab. 1. Zone 6b – 1999. Inventaire et tableau des appartenances à des types sociologiques (* = optimum sociologique)

 

Tab. 1b. Zone 6b – 1999. Diagramme des fréquences (%) des types sociologiques évoqués dans le tableau des appartenances (tab. 1). 

 

Tab. 2. Zone 20- 1997. Inventaire et tableau des appartenances à des types sociologiques (* = optimum sociologique)

Tab. 2b. Zone 20 – 1997. Diagramme des fréquences (%) des types sociologiques évoqués dans le tableau des appartenances (tab. 2)